De nombreux facteurs influencent votre risque de développer un cancer de l’intestin (côlon ou rectal).

Les facteurs de risque sont tout ce qui pourrait augmenter vos chances de développer un cancer. Les facteurs de protection sont ceux qui réduisent le risque.

Cependant, ce n’est pas parce que vous avez un ou plusieurs facteurs de risque que vous êtes susceptible d’avoir un cancer de l’intestin.

Les facteurs de risque du cancer de l’intestin comprennent :

Diète

Il est difficile de déterminer la relation entre l’alimentation et le cancer. Les scientifiques doivent mener des études à grande échelle pour découvrir quels aliments peuvent réduire ou augmenter le risque.

On ne sait toujours pas quel rôle jouent certaines parties de notre alimentation. Cependant, nous savons que certains aliments peuvent augmenter le risque de développer un cancer de l’intestin.

Consommer trop de viande rouge ou transformée

De nombreuses études ont montré que manger beaucoup de viandes transformées et rouges augmente le risque de développer un cancer de l’intestin. Ces viandes sont responsables d’environ 13 pour cent de tous les cas de cancer de l’intestin (environ 13 pour cent).

Toute viande qui a été transformée pour conserver ou ajouter de la saveur, comme le bacon, les salamis, les saucisses, les viandes en conserve, les pépites de poulet et les saucisses. Une portion comprend environ 2 saucisses et 3 tranches de jambon.

Le gouvernement suggère que les personnes qui consomment plus de 90 g de viande transformée et rouge par jour devraient la réduire à 70 g ou moins. 70g est le poids cuit. C’est la même quantité que 2 saucisses.

Vous pourriez envisager de remplacer le poulet et le poisson par de la viande rouge. Vous pouvez également remplacer la viande par des haricots ou des légumes secs.

Trop peu de fibres

Consommer beaucoup de fibres peut réduire votre risque de développer un cancer de l’intestin. Dans 100 cas de cancer de l’intestin, 30 à 30 % de ceux qui mangent trop de fibres sont touchés (environ 30 %).

Les aliments à grains entiers peuvent augmenter la quantité de fibres dans votre alimentation.

Pour obtenir plus de fibres dans votre alimentation, essayez :

  • Passer au riz brun, aux pâtes ou au pain
  • Passer au pop-corn plutôt qu’aux chips pour une collation faible en calories est une décision intelligente.
  • Céréales de petit-déjeuner complètes
  • Mangez plus de fruits et légumes riches en fibres comme les framboises et les pois

Obésité Et Surpoids

Le cancer de l’intestin est souvent causé par l’obésité. L’obésité est liée à 11 % de tous les cancers de l’intestin (11 %).

L’obésité est définie comme un excès de poids extrême avec un IMC de 30 ou plus. Un IMC compris entre 25 et 30 est considéré comme un excès de poids. Les personnes obèses sont plus à risque de cancer de l’intestin que celles qui ont un IMC sain.

Fumer Du Tabac

Le tabagisme est responsable de 7 des 100 cancers de l’intestin (7 %) Fumer des cigarettes augmente le risque.

Il n’est jamais trop tard pour arrêter de fumer, mais il vaut mieux le faire le plus tôt possible.

Histoire De Famille

Si vous avez un parent au premier degré atteint d’un cancer de l’intestin, votre risque de développer un cancer de l’intestin est plus élevé. Un parent au premier degré peut être un parent, un frère, une sœur, un fils ou une fille.

Si vous avez un cancer de l’intestin chez plus d’un membre de votre famille, le risque augmente encore plus. Vous pouvez avoir un parent au premier degré qui a reçu un diagnostic de cancer de l’intestin à un jeune âge (p. ex., moins de 45 ans).

Si vous pensez avoir un cancer de l’intestin dans la famille, parlez-en à votre médecin généraliste. Si nécessaire, ils peuvent vous référer à un centre de génétique. Un généticien procédera à une évaluation approfondie pour déterminer si une personne a besoin d’un dépistage ou d’un test génétique.

Conditions héritées

Certaines mutations génétiques peuvent conduire à des maladies génétiques rares. Si ces modifications génétiques sont transmises aux membres de leur famille, ils courent un risque plus élevé de développer un cancer de l’intestin.

La polypose adénomateuse familiale (PAF) en est un exemple. La PAF représente moins d’un cas sur 100 (moins de 1 %) de tous les cancers de l’intestin. Si ce syndrome n’est pas traité, presque toutes les personnes atteintes développeront un cancer de l’intestin dans la quarantaine.

Les experts recommandent aux patients atteints de PAF de subir une chirurgie intestinale au cours de leur vingtaine. Le côlon est généralement retiré par le chirurgien pour prévenir le développement du cancer de l’intestin.

Le syndrome de Lynch (cancer du côlon héréditaire sans polypose) est une autre affection. Ce défaut génétique augmente le risque de développer un cancer de l’intestin ou d’autres cancers chez les personnes qui en sont atteintes.

Les personnes qui ont des mutations génétiques qui augmentent le risque de cancer de l’intestin pourraient nécessiter un dépistage plus fréquemment que le reste de la société.

Pré-cancer

Si vous avez eu un cancer de l’intestin, vos chances d’en avoir un autre sont plus élevées. Discutez avec votre spécialiste de la fréquence à laquelle le dépistage peut être nécessaire.

Si vous avez déjà reçu un diagnostic de cancer de l’intestin, vos chances de le développer sont légèrement plus élevées. Cela pourrait être dû à des changements génétiques ou à l’effet du traitement pour le premier type. Elle peut également être causée par des facteurs de risque communs comme le tabagisme et le surpoids.

Les Conditions Médicales

Diabète

Le diabète peut empêcher votre pancréas de produire suffisamment d’insuline. Le diabète peut augmenter le risque de développer un cancer de l’intestin chez les personnes atteintes de diabète. Les scientifiques étudient la cause de cette augmentation du risque de cancer de l’intestin.

Calculs biliaires

Les calculs biliaires sont associés à un risque plus élevé de cancer du rectum que ceux qui n’en ont pas. Les personnes atteintes de calculs biliaires sont deux fois plus susceptibles de développer des polypes dans leur gros intestin (côlon) que celles qui n’ont pas de calculs biliaires.

Acromégalie

Les patients atteints d’acromégalie ont également un risque plus élevé de développer un cancer de l’intestin. Cependant, des recherches sont toujours en cours pour déterminer pourquoi. L’acromégalie survient lorsque l’hypophyse libère trop d’hormone de croissance, entraînant une augmentation de la densité osseuse, en particulier au niveau du visage.

Polypes Bénins De L’intestin

Les polypes et les adénomes sont des excroissances bénignes qui se produisent dans l’intestin. Ils peuvent devenir cancéreux avec le temps. La plupart des cancers de l’intestin sont causés par un adénome.

Le nombre de polypes et la taille de vos tumeurs détermineront votre probabilité de développer un cancer.

Les adénomes sont assez fréquents. Environ un tiers des personnes auront au plus un polype avant l’âge de 60 ans. Cependant, seule une fraction des adénomes peut évoluer en cancer. Cela prend de nombreuses années.

Les programmes de dépistage du cancer de l’intestin en Angleterre, au Pays de Galles et en Écosse, en Irlande du Nord, visent à détecter et à éliminer tous les polypes pouvant être présents dans la population, avant qu’ils ne deviennent cancéreux.

Radiation

L’exposition aux rayonnements est liée à environ 2 cas sur 100 de cancer de l’intestin (environ 2%) La radiothérapie pour les cancers précédemment diagnostiqués peut être responsable dans certains cas. Le repos est dû au rayonnement de fond et au rayonnement utilisé dans les tests de diagnostic (rayons X, tomodensitogrammes)

Infections

Certaines preuves suggèrent que les personnes infectées par Helicobacter Pylori (H.pylori) courent un plus grand risque de développer un cancer de l’intestin. Cette bactérie peut provoquer des ulcères d’estomac. Il s’agit d’une condition courante que de nombreuses personnes éprouvent. La majorité de ces infections n’évoluent pas en cancer.

  • Risque de cancer de l’intestin Cancer IntelligenceStatistical Information Team at (consulté en septembre)

  • Une méta-analyse d’études de cohorte a été mise à jour pour montrer que le diabète sucré est associé à la survenue d’un carcinome colorectal.
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  • Les calculs biliaires peuvent être associés à l’adénome colique. analyse ameta
    C Chiong, M Cox et G Eslick
    Scand J Gastroenterol (2012) Volume 47, Pages 553-564

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